lundi 6 mai 2019

Belize

J'ai choisi de passer par la mer pour entrer au Belize mais le voyage n'a rien d'une croisière d'agrément ! la vedette rapide est un continuel tape-cul sur les vagues et les passagers sont confinés dans la cabine. D'ailleurs même s'ils ne l'étaient pas le ciel maussade en cette saison n'offre rien de spectaculaire : à part la température on pourrait se croire sur la mer du Nord ! De plus j'avais pensé qu'en arrivant vers 17 heures à San Pedro je pourrais encore trouver un ferry pour Belize City mais le dernier part à 16 heures trente ! J'ai donc dû passer la nuit là mais l'expérience s'est révélée plutôt agréable d'autant que la réservation faite à Belize City a pu être annulée sans pénalité par le patron compréhensif : j'ai repoussé mon arrivée au lendemain. Et j'ai pu trouver un hôtel pas trop cher et directement sur le rivage.

















Le lendemain j'ai donc pu prendre le taxi-ferry (un peu plus grand que le précédent) et gagner Belize City. Le Dimanche il n'y a pas un chat dans les rues sauf quelques clochards allongés à même l'asphalte de l'une des villes les plus misérables que j'ai jamais visitées. Ici les clients n'entrent pas dans les magasins : on les sert à travers un guichet grillagé ! Bien que Belize rime avec Venise nous sommes là aux antipodes de la Sérénissime ! Cependant la population reste très accueillante envers le "gringo" de passage et serviable pour le renseigner.






La rue principale le dimanche après-midi
















Le bord de mer au nord est nettement plus gai.



















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