La navette fait le trajet plusieurs fois par jour.
Là aussi il y a des canons qui n'ont jamais eu à servir. La menace de l'époque (guerre de Crimée) c'était la marine...russe !
Panne de sonar, tempête, brume épaisse et voilà le résultat.
Le capitaine ayant abandonné le navire, la cargaison fut une aubaine pour les habitants !
Plusieurs maisons conservent la mémoire des lieux. Ici une cuisine de 1953 : il y avait même un numéro de Spirou que j'ai dû lire à l'époque !
Le cimetière marin, le vrai, menacé par les vagues. Certaines familles aujourd'hui installées à Saint Pierre continuent de s'y faire enterrer.
La pension de Marie Jo.
Et c'est le départ de cette petite partie de la France, attachante.
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