La vue de ma chambre.
L' A.J. est la première maison, émeraude. Remarquer l'enchevêtrement des câbles électriques !
Pourquoi des maisons si colorées ? Il paraît que c'est pour permettre aux marins de retrouver la leur dans le brouillard !
C'est parti pour l'aventure!
Quand on voit la dimension considérable du port on est surpris de l'incroyable étroitesse de la passe à l'entrée !
Certaines maisons de pêcheurs s'agrippent aux flancs de la colline.
Un navire s'apprête à pénétrer dans la passe.
Ce n'est sûrement pas un moussaillon qui tient la barre !
Mais surprise ! c'est une faille encore bien plus étroite qui donne accès à la rade de Quidi Vidi, au nom bien mystérieux !
Un repaire idéal pour des pirates, égarés loin des Caraïbes !
En sortant comme en rentrant le bateau, pourtant pas bien large, rase les rochers.
Et l'on finit par considérer la passe du port un vrai boulevard !
Mais passons aux choses sérieuses : ou sont les baleines (à bosse : humpback) promises ?
En voila une, isolée !
Elles reviennent chaque année sur la zone, littéralement affamées après avoir parcouru des milliers de kilomètres depuis le Groenland sans se nourrir. Tout occupées à se remplir la panse, elles n'en ont rien à faire, des touristes !
Cape Spear est l'extrémité orientale de l' Amérique du Nord. J'avais prévu d'y aller par la terre mais c'est finalement de la mer que je le découvre en premier. Notre guide facétieux nous assure qu'on peut voir l' Irlande par (très, très, très ) beau temps.....et sans doute une forte dose de whisky !
Encore des baleines, cette fois en famille.
Cette histoire va finir en queue de poisson !
Puis nous nous dirigeons vers le rivage pour observer les oiseaux.
Enfin le retour, les yeux émerveillés.
A suivre
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