vendredi 6 octobre 2017

Memphis-New Orleans

Le 22 août au soir je rends la voiture à l'aéroport. J'ai théoriquement jusqu'au lendemain 9 heures pour faire cela mais le train pour la Nouvelle Orléans part à 6 heures et demie et je décide de passer la nuit sur le banc devant la gare car la salle d'attente est fermée jusqu'à 5 heures. Comme l'esplanade du parking est en hauteur à l'écart de la rue je ne crains pas d'être dérangé. Mais j'ai le malheur d'enlever mes chaussures et je suis à nouveau dévoré par les moustiques !
Le lendemain le trajet du train qui vient de Chicago passe rapidement, dès la sortie de Memphis, dans un très beau paysage typique du sud de bayous et de forêts semi-tropicales, entrecoupé de plantations. Puis avant l'arrivée à la Nouvelle Orléans la voie traverse le lac Pontchartrain. La gare n'est pas trop loin du centre et je m'aventure à pied jusqu'au guest-house "City House Hostel" dans le vieux quartier français, bien situé donc mais hélas c'est un étage au dessus d'un garage, sans fenêtres : il ne faut pas être claustrophobe ! L'avantage c'est qu'il est bon marché (ce n'est pas la haute saison, en août le temps est chaud, humide, les nuages bas n'incitent pas à la bonne humeur) et ça m'arrange pour la fin du mois (oui, je sais, je suis retraité, mais c'est du point de vue du plafond mensuel de la carte de crédit que je dois prendre des précautions) J'ai réservé pour 5 jours : ça doit être suffisant pour tout voir ici avant de continuer sur Lafayette (voir les cajuns) et Houston.
Le lendemain je fais l'excursion aux bayous, de l'autre côté du lac Pontchartrain, franchit par un pont qui est dit le plus long du monde.

Bon, la baignade ce sera ailleurs !







 Les alligators sont appâtés avec du.....marshmallow (guimauve) ! Comme on dit par ici : They have a sweet tooth !







 Je ne me lasse pas du spectacle de la forêt tropicale.



 Un petit air d' Amazonie.












Quelques résidences secondaires dont certaines ne se sont toujours pas remises du passage de l'ouragan Kathrina.




Un alligator immobile à l'affût, se fond avec les branches.





















 Revenons à nos alligators.







ça mord ?



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